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Carnet de notes

Après avoir longtemps écrit pour elle, pour déposer ses émotions fortes sur papier, se réconcilier avec son histoire, Mariama a décidé d'en partager une partie, sous la forme d'un récit autobiographie : De Bamako à Paris

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De Bamako à Paris

Nous vous proposons donc de découvrir son premier récit auto-publié sous le nom de plume Mamou Ba

Ce récit autobiographique dont la rédaction a débuté il y a près de 20 ans, relate l'histoire d'une jeune femme qui découvre le sentiment amoureux dans le contexte spécifique de la relation à longue distance.

Une relation passionnée entre deux personnes issues de milieux différents, de réalités différentes.

Le retour des lectrices

Mon appréciation générale : je dirais 8/10  j’étais captivée. Le récit est vraiment très bien écrit, tu as une très belle plume. Tu vas dans le détail sans en dire trop, j’ai eu l’impression de vivre l’histoire avec toi. Je n’ai pas mis plus notamment parce que je connaissais la fin de l’histoire et il y avait de ce fait pas de suspens sur la chute. Je me répète mais j’ai adoré! J’ai déjà entendu dans mon entourage des histoires de relation à distance qui n’ont pas marché. Ton récit m’a permis de vivre la situation comme s’il s’agissait de moi. La façon dont tu racontes  m’a embarqué.  C’est un bon livre pour sensibiliser aux risques de l’amour, pas que les relations à distance.  J’espère qu’il rencontrera le succès qu’il mérite.  Mon résumé: un coup de foudre, de l’amour, de la passion, des traditions, des doutes, de la dépendance, des blessures, une renaissance.  Mon passage préféré:  la rencontre, la façon dont c’est raconté nous fait bien ressentir tes sentiments à ce moment là. On vit le coup de foudre avec toi. J’ai bien aimé aussi le moment où t’as ouvert les yeux (j’avais hâte de ce moment). Ta détermination à connaître la vérité, à vouloir le confronter. À vouloir aussi entendre la vérité de la bouche d’Haby. Une femme amoureuse trahie enquête mieux que Columbo. La partie que j'ai le moins aimé: le fait que tu remettes le couvert avec Akim et que tu envisages un enfant avec lui alors qu’étant contre la polygamie, tu ne voyais pas de futur avec lui. Là, j’étais trop dans l’histoire et je vivais trop le truc. Je me suis mise à ta place et pour moi il était hors de question même que j’adresse la parole aux mecs, encore moins revivre une histoire et envisager un futur… Je me suis reconnue aussi dans ton honnêteté, à tout lui dire, tes amourettes… Ton innocence /naïveté du début de la relation. Dans ta passion, en mode amour aveugle. Enfin, pas si aveugle que ça, car tu as très tôt était lucide sur la vérité de la relation, tu l’aimais bien plus que lui ne t’aimait. Tu étais sans doute en dépendance affective.  En me projetant dans ton histoire, la personne que je suis aujourd’hui aurais mis fin à la relation dès le premier mail que tu as envoyé pour rompre. Mais mon moi d’avant aurais sans doute suivi ses émotions et sentiments et aurait comme toi continué la relation.  J’ai tellement apprécié ton indépendance, le fait que tu n’aies pas froid aux yeux. Que tu saches ce que tu veux et ne veux pas. J’aurai aimé être comme ça à 18 ans. Tu étais déjà très mature.  Anna G

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